Quand on était seul·es

Elles ont les cheveux longs. Deux hommes, une femme. Enfin peu importe, trois personnes. 
Sur une scène épurée, deux acrobates remontent le temps, là où unicité et universalité se réunissent.
Au rythme d’une guitare acoustique, ils dansent à l’unisson, s’emmêlent les tresses, s’élancent sur un mât chinois avant de nous offrir plusieurs portés. Ils explorent l’essence de la solitude, et cherchent à se rapprocher l’un de l’autre sans se confondre.
Quand on était seul.es, c’est devenir ancrage, se hisser, se jeter et chuter. C’est la musique qui porte autant que le corps. C’est le lien que nous tissons en dansant.
Ce spectacle poétique nous parle de l’amour qui s’invite, qui se dévoile, et de la force cachée en chacun de nous.